Des chercheurs de l’université de Leeds se sont penchés sur l’évolution physique de l’être humain après plusieurs décennies de télétravail régulier. Ils nous présentent le portrait d’une femme appelée Anna en l’an 2100. Bien que le télétravail soit vanté pour éliminer les trajets quotidiens, permettant ainsi un meilleur repos et moins de fatigue, la pauvre Anna ne semble pas être en grande forme.
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