Ces trois signes du zodiaque se démarquent clairement des autres en termes de radinerie pure. Bien qu’ils brillent par des qualités indéniables, on ne peut pas s’empêcher d’esquisser un petit sourire devant leur défaut qui finit par verser dans le comique.
La radinerie de ces signes du zodiaque est pour le moins légendaire car ils peuvent se montrer particulièrement mesquins au sujet des dépenses. Ils se montrent très consciencieux sur la logistique de leur argent et s’assurent ainsi de le dépenser de la manière la plus judicieuse qui soit. Peut-être trop judicieuse. Résultat, ils auront tendance à se négliger en faisant l’impasse sur ce qu’ils ne jugent pas nécessaire et indispensable. Ils ne réalisent pas que la vie est également faite de futilités nécessaires. L’astrologie nous révèle leur identité.
À la moindre pensée que son portefeuille va être utilisé, le Cancer se découvre une passion soudaine et insoupçonnée pour les mathématiques qu’il maudissait pourtant à l’école. De ce fait, avant d’acheter quoi que ce soit, il schématise dans son esprit toutes les possibilités. Et il y a de grandes chances pour qu’il en conclut que l’achat n’est pas indispensable.
Investir dans un véhicule plus moderne et laisser tomber sa vieille voiture ? Très peu pour lui. Tant qu’elle a des roues et qu’elle se déplace, inutile de perdre de l’argent. Au restaurant, les serveurs ne l’apprécient pas car pour lui, payer le pourboire relève du scandale. Encore plus s’il estime que la note était déjà bien assez salée.
Très économe, il ne compte pas débourser un sou pour ce qui ne lui semble pas être objectivement important. Pour lui, dépenser de l’argent à l’aveuglette miroite le caractère des personnes prétentieuses et matérialistes. Le Capricorne ne laisse pas passer la moindre occasion qui lui permette d’éviter d’utiliser son portefeuille.
Elles sont tellement sur leur garde que pour elles, la moindre personne qui leur adresse la parole est en passe de leur demander un service financier. Tout au long de leur vie, elles persistent dans un esprit de « dépannage » qui consiste à se contenter du strict minimum.