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Il rappelle que, depuis vingt ans, l’émission, de même que Star Académie, ont fracassé toutes les cotes d’écoute. Il note toutefois une baisse de l’engouement depuis quelques saisons. D’ailleurs, il souligne que, dimanche dernier, ils étaient plus de Québécois, 1 465 000, à regarder Sortez-moi d’ici, que La Voix, qui a réuni 30 000 téléspectateurs de moins. « On n’aurait jamais vu un tel renversement il y a à peine cinq ans », constate-t-il.
Le chroniqueur lui-même avoue avoir de la difficulté à rester captivé durant cette 9e saison, malgré un magnifique décor et une réalisation qui « a grimpé d’une coche » et l’excellent travail de Charles Lafortune à l’animation. « Mais il manque de candidats spectaculaires qui nous jettent sur le derrière », a-t-il dit.
Il estime aussi que la mécanique « très répétitive » de La Voix avec ses auditions à l’aveugle, ses duels et ses chants de bataille sont un concept déjà vu depuis plusieurs saisons.
Hugo Dumas souligne d’ailleurs que, contrairement à Star Académie, on ne voit pas les participants dans leur quotidien.
Le chroniqueur lance également des fleurs aux coachs Marc Dupré, Mario Pelchat et Corneille. Toutefois, « ce fut moins évident pour Marjo », qui était remplacée par France D’Amour dimanche, comme elle avait la COVID-19. Marjo « semblait perdue, coincée, et ses collègues l’ont (un peu) aidée à se retrouver, baby. […] La remplaçante de Marjo, France D’Amour, semblait avoir été assise dans la chaise de coach depuis le passage de Charlotte Cardin en 2013. Elle a été pétillante, drôle et éloquente» , écrit Hugo Dumas.